Mourir peut attendre est sorti au cinéma le 6 octobre 2021. Le film de genre(s) Policier, Espionnage, Thriller, Action est réalisé par Cary Joji Fukunaga. On y retrouve notamment Daniel Craig, Rami Malek et Christoph Waltz.
Synopsis du film
Dans les années 1990, Lyutsifer Safin, venu venger sa femme, assassinée par le professionnel surnommé Mister White, assassine la femme de White, sous le regard impuissant de Madeleine Swann, sa fille. Vingt-cinq ans plus tard, Madeleine, vit dans les Pouilles, en Italie, aux côtés d’un James Bond bien décidé à se tenir loin du tumulte du monde de l’espionnage. Mais, tandis qu’il se rend sur la tombe de Vesper Lynd pour se recueillir, l’agent 007 échappe de peu à une explosion, avant d’être pris en chasse par des assassins professionnels, motorisés et très lourdement armés.
Principaux acteurs et actrices au casting
- Daniel Craig (James Bond)
- Rami Malek (Lyutsifer Safin)
- Christoph Waltz (Ernst Stavro Blofeld)
- Léa Seydoux (Madeleine Swann)
Ils en parlent : les avis de la presse cinéma
Journal du Geek
Mourir peut attendre est une conclusion risquée, courageuse par moment, mais bien trop longue pour ce qu’elle raconte, sans personnalité au niveau de la mise en scène et dont les failles narratives nous sortent trop souvent de l’émotion que le film veut susciter. On n’en retiendra rien si ce n’est dix minutes au début, dix minutes au milieu et dix minutes à la fin. Finalement, ça ne valait peut-être pas le coup d’attendre… Allan Blanvillain
Critikat
Que laisse un méchant derrière lui ? Un monde redessiné selon les contours de ses fantasmes. Qu’est-ce qui subsiste d’un tueur au service de sa majesté, employé à contrecarrer les plans des méchants ? À tout le moins une famille, un enfant qui a ses yeux, dit-il, des yeux bleus. C’est d’abord ça que Craig lèguerait à la postérité : des yeux plus clairs et plus profonds, d’où les larmes peuvent couler (et de fait elles surgiront). En somme, un héros fêlé et sentimental, qui aura certainement pavé la voie à des projections toujours plus éloignées du personnage de Ian Fleming, et susceptible, contrairement à ses prédécesseurs, d’être mis face à sa finitude dans un coup de théâtre conclusif. Mais la franchise, la maline, siffle en réponse, avant le carton final, l’air du grand John Barry : « We have all the time in the world. » Sylvain Blandy
A voir à lire
Bavard, long et confus, le nouveau James Bond se résume à un fatras d’effets spéciaux et de démonstration financière. Laurent Cambon
Ecran Large
Mourir peut attendre traîne des défauts classiques (seconds rôles insipides, méchant fonctionnel, rythme décousu), mais brûle une page de la saga avec une ambition et une émotions inédites. Après quasiment 60 ans et 25 films, James Bond ose enfin, et rien que pour ça, c’est beau. Geoffrey Crété
La bande-annonce du film
Rédacteur en chef du Vortex. Amateur de Pop-Corn.
Créateur de singularités.